Dialogue biaisé voire bloqué. On le doit au ministre de l’Education nationale. CDT et FDT n’ont pas cessé de tirer la sonnette d’alarme à ce propos. Le tout dernier communiqué qui fait suite à la réunion d’évaluation dudit dialogue, tenue le 25 mai, explicite les raisons d’une colère justifiée.
Pour rappel, les deux rencontres des représentants syndicaux avec Mohamed El Ouafa ont eu lieu les 16 et 23 mai sur proposition de celui-ci. Les bureaux nationaux des deux centrales déplorent la volonté délibérée du département de tutelle de faire échouer ce dialogue, et ce à travers la prise de décision unilatérale visant à déposséder les centrales de leurs attributions sociales garanties par la Constitution. Tout en rendant responsable Mohamed El Ouafa de la situation actuelle, la FDT et la CDT dénoncent l’entêtement de ce dernier à ouvrir un dialogue sérieux et constructif à même de répondre aux revendications des enseignants.
Les deux centrales condamnent également les méthodes d’intimidation du ministre, les prélèvements anticonstitutionnels effectués sur les salaires des grévistes ainsi que les fins de non-recevoir systématique à l’égard des doléances du personnel enseignant. Cette réunion d’évaluation a été aussi une occasion pour les deux bureaux d’exprimer leur mécontentement et leur inquiétude de la manière avec laquelle le ministre de l’Education nationale gère les affaires de son département. Une politique marquée par la volonté du ministre de vider le dialogue social avec les syndicats les plus représentatifs de sa substance, le réduisant en simples séances d’écoute.
Tout le monde est unanime sur la situation de l’école publique qui connaît de sérieux problèmes et dysfonctionnements que ni la Charte nationale d’éducation et de formation ni le fameux Plan d’urgence n’ont pu résoudre. Le manque criant de ressources humaines, la déperdition scolaire, la surcharge des classes, la violence dans les établissements scolaires, sont autant de tares dont souffre l’école publique.
A rappeler qu’à l’appel des deux centrales, une grève nationale a eu lieu en février dernier accompagnée d’un sit-in devant le siège du ministère de l’Education nationale pour attirer l’attention de l’opinion publique et du gouvernement sur la gravité de la situation de tout le système éducatif miné par plusieurs dysfonctionnements et défaillances.
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Pour rappel, les deux rencontres des représentants syndicaux avec Mohamed El Ouafa ont eu lieu les 16 et 23 mai sur proposition de celui-ci. Les bureaux nationaux des deux centrales déplorent la volonté délibérée du département de tutelle de faire échouer ce dialogue, et ce à travers la prise de décision unilatérale visant à déposséder les centrales de leurs attributions sociales garanties par la Constitution. Tout en rendant responsable Mohamed El Ouafa de la situation actuelle, la FDT et la CDT dénoncent l’entêtement de ce dernier à ouvrir un dialogue sérieux et constructif à même de répondre aux revendications des enseignants.
Les deux centrales condamnent également les méthodes d’intimidation du ministre, les prélèvements anticonstitutionnels effectués sur les salaires des grévistes ainsi que les fins de non-recevoir systématique à l’égard des doléances du personnel enseignant. Cette réunion d’évaluation a été aussi une occasion pour les deux bureaux d’exprimer leur mécontentement et leur inquiétude de la manière avec laquelle le ministre de l’Education nationale gère les affaires de son département. Une politique marquée par la volonté du ministre de vider le dialogue social avec les syndicats les plus représentatifs de sa substance, le réduisant en simples séances d’écoute.
Tout le monde est unanime sur la situation de l’école publique qui connaît de sérieux problèmes et dysfonctionnements que ni la Charte nationale d’éducation et de formation ni le fameux Plan d’urgence n’ont pu résoudre. Le manque criant de ressources humaines, la déperdition scolaire, la surcharge des classes, la violence dans les établissements scolaires, sont autant de tares dont souffre l’école publique.
A rappeler qu’à l’appel des deux centrales, une grève nationale a eu lieu en février dernier accompagnée d’un sit-in devant le siège du ministère de l’Education nationale pour attirer l’attention de l’opinion publique et du gouvernement sur la gravité de la situation de tout le système éducatif miné par plusieurs dysfonctionnements et défaillances.
Lire la suite : CDT et FDT dénoncent la politique du cavalier seul prônée par El Ouafa
Les avocats ont organisé hier des sit-in de protestation devant les sièges des Cours d’appel du Maroc pour dénoncer la prise de décision unilatérale de Mustapha Ramid de publier le décret organisant l’assistance judiciaire dans le Bulletin officiel sans tenir compte des travaux de la commission commune représentant le ministre de la Justice et l’Association de l’Ordre des avocats. En effet, Mustapha Ramid avait pris, de la manière la plus discrétionnaire qui soit, cette décision qui constitue, selon ladite Association, un défi pour les avocats et vise à les mettre devant le fait accompli.
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Lire la suite : Les avocats en sit-in devant les Cours d’appel du Royaume